Dans son monde visuel monochrome peuplé de visages errants, de fantômes sensibles, de paysages en mouvement, David Ropars part à la conquête de ce qui se crée dans le vide, dans les traces laissées par l’absence, les départs et même parfois la mort. Marqué par cette phrase de Jacques Derrida “L’avenir appartient aux fantômes”, ce jeune photographe angevin repéré par Fisheye Magazine nous livre ici une exposition pleine de mystère.
Du 09 Janvier au 23 Février 2024 à l’Espace Senghor