Dans l’Espagne de l’Inquisition ou dans la Russie des pogroms et du goulag, Dostoïevski nous rappelle qu’à partir d’une saine croyance, tout homme peut sombrer dans le délire.
Ainsi des inquisiteurs, comme de tous ceux qui, poussant leur doctrine à l’extrême, tombent dans l’abîme du fanatisme et de la destruction de l’Homme.