Dans le prolongement de l’exposition "Le Vent. "Cela qui ne peut être peint", le MuMa présente "Météorologiques".
L’exposition, qui emprunte son titre au traité d’Aristote (IVe siècle av. J.C.), présente des peintres, photographes, dessinateurs ou vidéastes dont les œuvres révèlent une sensibilité particulière "au temps qu’il fait".
S’inscrivant à la suite de "Vent", le nouvel accrochage accorde à la représentation de "l’air en mouvement" une place privilégiée. Mais il s’intéresse plus largement à des météores comme les brouillards, la rosée, la pluie, la gelée blanche, dont les effets déterminent l’impression générale d’une scène ou d’un paysage.
"Météorologiques" prolonge ainsi la question de la représentation des effets mouvants, instables, éphémères de « cela qui ne peut être peint », en l’ouvrant plus largement aux artistes contemporains et à la notion d’impermanence.